L'académie Kurosû
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 Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy

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2 participants
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Elizabeth Winterwhite

Elizabeth Winterwhite


Messages : 3
Date d'inscription : 01/12/2012

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MessageSujet: Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy   Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy Icon_minitimeSam 1 Déc - 21:39


Présentation de Winterwhite Elizabeth



Carte d'identité
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Nom : Winterwhite.
Prénom : Elizabeth, plus communément appelée Lizzy.
Âge : Dix sept ans, semble-t-il.
Race : Vampire, sang pur.
Classe d'étude : Déléguée.
Pouvoir(s) : Si l'on omet les privilèges offerts aux vampires, Lizzy se voit capable de visualiser les lignes de la mort de tout êtres vivants, et donc, capable de les couper selon son bon plaisir. Activer ce don la fatigue énormément et la rend malheureusement fragile, ce qui lui vaut une défense plutôt pitoyable, qui bien sûr, ne se voit pas à première vue.
Groupe : Day class.
Célébrité : Feat. : Cosplayeuse d'Ai Enma.


Je suis ce que je suis
    Elizabeth n'est rien, et Elizabeth est tout à la fois.

Elle se veut une ombre furtive, aux couleurs sombres qui se fondent dans l'environnement, pour pouvoir mieux englober celui-ci dans un tourbillon de nuance grisâtre. Il faut déjà la remarquer, ainsi fondu dans les coins brouillés d'un champ de vision, et pourtant elle saute aux yeux. Il y a cette chevelure à la couleur trop obscure, ces yeux semblant violacés, cette peau trop pure, cette lenteur dans ses mouvements, qui dérogent à ses règles et attire l'attention. A la fois tellement banale et tellement parfaite, elle dérange autant qu'elle attire.

Elle est de celle qui distille le doute. Le temps ne semble pas avoir de prise sur elle, son existence pourrait être comparée à une photographie. Même geste, même mimique, même regard si profond mais si vide, tantôt douce et oreille attentive, tantôt distante, les jours ont beau passer, jamais un changement n'opère. Tout est là: on ne peut pas faire de choix, on ne peut définir qui elle est, et c'est ainsi le sien qu'elle impose.

Elle ne veut pas être dans aucune catégorie, et n'en est dans aucune. Elle pose ses propres limites, troublant les acquis, se tenant en équilibre là où on ne devrait normalement pas.

Elle ne veut pas se distinguer, et encore moins être qualifiable de quelqu'un d'original. Pourtant, elle n'est pas de ceux à vouloir rentrer dans les normes.
D'un naturel calme trop grand, trop parfait, elle attire le regard de beaucoup. Ne pas parler, c'est étrange, trop étrange. Elle ne souhaite pas parler, parler briserait sa bulle, ce silence qu'elle s'est installé, cette bulle bienfaisante, cette bulle grise.
Un monde entièrement gris. Elle le souhaite plus que tout. Un monde mélangé, un monde sans complexe. Elle veut l'uniformité, elle veut écraser ces teintes sanglantes qui l'aveuglent et ne laisser qu'un aplat de gris total.

Du genre silencieuse, furtive comme une ombre, furtive comme le crépuscule qui tombe et scinde le jour et la nuit sans qu'on ne se rende compte de sa présence. Elle parle peu en général, ou du moins n'adresse pas la parole aux autres de son plein gré. Elle n’est pas timide, mais il nie les bienfaits de la parole ; elle est franche. Lorsqu'elle se doit de parler, c'est ce qu'elle pense qui ressort. Ce n'est pas nécessairement méchant : des compliments ou des phrases sans aucun sens sortent également de sa bouche, mais elle ne veut exprimer ses pensées à personne, alors, en général, elle se tait.

Elle n'aime pas vraiment être dérangée, fustige le bruit et se complaît dans le silence. La solitude est comme une amie, teintée de grise et d'impression morne. Elle est néanmoins celle qui s'occupe des soucis des autres, de leurs prendre leurs devoirs lorsqu'ils sont absents, à donner son DM parce qu'une personne l'a oublié. Elle est déléguée, et ne l'oublie pas, faisant de son mieux pour être une bonne aide, sans jamais créer de réels liens.

On la dirait dérangée, perdue dans son monde, perdue dans ses pensées. Pourtant ses yeux vous suivent si vous passez, un regard vide et indécis, ces deux abysses sans fin qui vous contemplent qui observe attentivement la personne intruse. On l'adore autant qu'on la craint, à la fois trop différente et trop simple.

    Elizabeth n'est rien, et Elizabeth est tout à la fois. Peut-être parce qu’elle est incalculable. Peut-être parce qu’elle est insaisissable. Peut-être parce qu’elle n’existe pas. Elle est le Big Bang. Parce que c’est un grand n’importe quoi. Parce que c’est l’absolu du bout des doigts. Et le néant à la fois. Elizabeth, c’est un objet cassé, une femme abîmée. Une bombe sans l’option destruction. Un livre aux lettres effacées, aux pages brûlés. Une coquille vide. Parce qu’elle s’est cognée contre toutes les parois de la vie à s’en abîmer l’esprit.

Les couleurs de son regard se perdent, se déclinent en nuances amères sur la pâleur de sa peau. C’est toute une étendue nuageuse, une chair faite d’éclat et de pureté souillée. Les longs cils clairs cachent ses yeux guèdes à la décadence d’une époque qui se construit et se meurt en même temps. Elle garde dans la beauté glaciale de son regard des reflets prusse, haineux. Une flamme sordide et puissante qui danse à n’en plus finir sur les ombres torturées de ses traits délicats. Elle assassine le nez à la courbe douce, la bouche pâle et souriante, recourbée selon ces apparences qu’elle conserve. Elle enflamme le grain clair et pur de sa peau, pour en raviver l’éclat et lui donner une brillance terne, une perfection vite brisée.

Ses mèches aveuglantes encadrent des traits à l’harmonie fade, presque dérangeante. La symétrie de son visage s’éparpille au coin des filaments clairs, souvent ramenés sur sa nuque délicate. Son front se pare souvent de la chevelure anthracite, quand elle courbe l’échine, trop rarement, quand elle veut cacher ses expressions à des yeux curieux. Ils retombent sur ses épaules, disparates, désespérément lisses, en fils sombres et soyeux. Ils semblent caresser sa peau, à chaque mouvement, lacèrent des membres fragiles.

Presque frêles. Sa constitution trop fine, son corps souple, liane s’enroulant autour d’un ennemi qu’elle charme et détruit, est une arme à utiliser, à réutiliser. Elle n’a d’humain que l’apparence qui se déploie sous l’étendard d’une perfection vite déchue. Les muscles qui roulent sous sa peau sont déliés, fermes. Elle a les courbes douces d’une féminité épanouie, qui se meurt sur son corps, langoureuse et bientôt fanée. L’éternel n’aura pas prise sur le chemin sinueux suivi par ses jambes longues, sur le creux de sa taille, sur la rondeur avenante de ses hanches. Qu’elle soit courbée, penchée, soumise à cette fatalité qu’elle accepte ou non, elle garde une fierté sans borne, lueur étincelante dans son regard perçant, renflement victorieux sur sa poitrine. Tout semble empreint de dureté, un émail cristallisé et impossible à briser, dans ce corps qui ne lui appartient pas vraiment.

Elle cache la pureté aveuglante d’une peau trop souvent meurtrie sous des vêtements qui tantôt épousent, tantôt détruisent, cachent, les lignes fragiles de sa silhouette. Du blanc, tellement, trop, encore du blanc et parfois, quelques tâches de couleurs, une pâleur coupée par une vivacité qui se perd trop vite dans le paysage de ses errances. Le tissu souple suit à chaque fois ses mouvements, se dérobe sous ses gestes légers, sous sa démarche ferme et assurée. Sa forme longiligne semble se fondre facilement dans la masse, épouser l’ombre de l’anonymat. Sa taille est trop raisonnable, son physique n’a rien d’extravagant pour qu’elle puisse se démarquer, d’une quelconque manière. Restent les longs cheveux obscures, ce physique trop noir.

Et elle ne sait jamais si c’est bien elle qu’elle voit dans le miroir ou si ce n’est que le reflet torturé et flou d’une ressemblance qu’elle aurait trop rêvée.


Un Homme n'est rien sans son passé
    Elizabeth sombre, depuis toujours. Jusqu'au jour où cette illusion de vie lui paraît insupportable.

    "Je veux vivre, vivre par mes actes, ma propre volonté. Simplement vivre pour être ce que je suis, ne plus être prisonnière de ces préjugés, de ce qu'on nous inculque. "

    Que faire lorsque l'on se rend compte qu'il n'y a rien que du vide derrière son nom ? Que faire lorsque l'on s'aperçoit que tout ce en quoi on croit, n'est que mensonge ? Que faire pour ne pas s'effondrer ?

    Dès le début, Elizabeth se noie dans cette lucidité nouvelle, se rend compte qu'elle est prisonnière d'un système qui l'enchaîne et la détruit, dans un système où la liberté n'est pas envisageable.
    Pour échapper à cela, elle va s'enfuir, renaître.
    Mais la liberté ne se conquière pas en fuyant, cela, elle l'apprendra à ses dépends, tôt ou tard. Il lui faudra faire face à ses erreurs. Faire face à son destin, pour le prendre en main. Il lui faudra faire des choix qui ouvriront la route menant à sa voie.

    Des choix difficiles, déchirants. Qui la conduiront sur un chemin ardu: celui de la liberté. Mais la liberté est un euphémisme dans le monde des vampires, dans ce monde de faux semblant.

Je tourne en rond. Je tourne en rond. A vrai dire, je n’ai jamais fait autre chose que de tourner en rond. Sans cesse. Avec pour seul espoir celui de vivre. De vivre vraiment. Libre. Maître de ma vie, de mes actes, de mes choix. Cela je ne m’en suis rendue compte que très tard.

Trop tard.

J’ai cherché partout. J’ai cherché une voie qui m’emmènerait vers la lumière pendant toute mon existence. Une voix qui me libèrerait de ce que j’étais, de ce qu’on m’avait forcé à être. A devenir. A naître.

Je me haïssais.
Ma vie, mes actions étaient des chaînes qui déchiraient ma peau, brûlaient mon âme. Ce que j’étais m’étouffait, comme une main glaciale qui compressait ma gorge. Je fermais les yeux en hoquetant alors qu’elle intensifiait la pression. Toujours. Le monde dans lequel je vivais à l’époque ne m’avait pas détruit, il m’avait crée. De toutes pièces.
On m’avait voulu faible, stupide puis forte et douée.
Ils m’avaient façonné, puis détruite. Et ils ont répété ces gestes. Inlassablement. Ils avaient construit une arme en plus, une machine à tuer, de ces êtres détestés par tous, ces êtres assoiffés de sang. Cette nature, toute nature n'était que chaîne.

Le monde n'en est pas un. Cette vie n'en est pas une. C’est une usine. Une usine d’être vivant. Je ne pourrais dire d’être humain. Car être vivant dans ce monde ne signifie pas être humain. Loin de là.

Winterwhite Elizabeth.
C’est ce que je devais être.
C’est ce que j’étais.
C’est ce que j’ai haï.

Depuis toujours. Je m’en veux, aux larmes, au sang. Si je pouvais détruire tout ça. Si seulement, j’avais pu naître ailleurs, ou ne pas naître. Si seulement je n’avais pas été aussi idiote. Une gamine stupide et après un vampire, tueur sans cœur soit disant impressionnant. C’est ce que tous attendait de moi. J’avais rempli la mission à merveille. J’étais devenu celle qu’ils voulaient. Mais je ne l’avais pas choisi. J’ai été entrainée dans ce torrent dévastateur du monde dès que j’ai posé mon regard sur la vie. Je n’ai jamais pu grandir, devenir celle que je devais être. Car le courant était bien trop fort, la mécanique bien trop huilée.
Je ne suis pas la seule, loin de là. Tous les autres semblent encore vivre aveuglément. Ils ne se rendent pas compte qu’ils ne sont pas libres. Je les connaissais. C’était des amis, des connaissances. Des vampires. Des humains.
Ils avancent tous dans la même direction, celle dictée par la direction de la société. Ils ne changeront pas, ils ne comprendront jamais. Tout comme ils ne comprendront jamais pourquoi, du jour au lendemain j’ai décidé de remonter le courant. De m’évader de cet enfer maquillé, de fuir cette souffrance imposée par un conseil de vieillards séniles.

Ils ordonnent. Les hommes obéissent, se lançant parfois même à corps perdus dans leurs missions, même en sachant qu’ils pourraient ne pas revenir ou devoir sacrifier l’un des leurs. Ils acceptent d’exécuter des ordres sans en référer à leur propre conscience. Ils suivent une voie qui n’est pas la leur. Une voie de peur, de vengeance et de guerre. Elle ne sert que les intérêts des dirigeants et méprise leur vie et leur identité. Je ne voulais plus de cette injonction. Je ne voulais plus d’ordre, d’obéissance, de hiérarchie. Ce que je voulais c’était vivre. Pleinement. Respirer seulement si j’en avais l’envie. Pleurer, rire, tuer uniquement si j’en avais le choix. Je voulais juste pouvoir décider. J’aspirais à ce que se soit ma liberté et j’ai tout fais pour y accéder. C’est un trésor que les hommes ont oublié. Un trésor inestimable que j’ai décidé d’acquérir.
Et pour cela, je devais m’arracher à cette gangrène, à cette personnalité que je n’avais pas choisie et qui m’avait été imposée par le système.

C’est ce que je fis. Sans regrets, sans amertume. Je n’étais plus rien. Plus personne. Le détachement ne fut pas douloureux, ni même difficile. Il fut rapide, simple. Aussi simple qu’une respiration. Enfin je pourrais être.

Maintenant je sais. Je sais que jamais on est réellement libre. Je sais que nous sommes des pions. Que nous le seront toujours. Je me souviens. Je me souviens de ce jour où j’ai tout quitté. Je me souviens avoir cru toucher la liberté du bout des doigts. Je ne l’ai même pas effleurée.
J’ai rêvé être débarrassée de ces chaines d’acier, mais encore une fois, il s’agissait d’une illusion. Mais je continuerais à me battre.

Parce que je ne veux pas être un vampire, je ne veux pas être Elizabeth Winterwhite, je veux juste être libre, libre de tout.




Bon, derrière l'écran c'est autre chose
Mes surnoms : .... Probablement trop pour être cités.
Code du règlement : Cathy est passée par là ~
Mon puff : © J'enaipasdespécial.

Comment j'ai connu ce forum : Ma foi, cela me semble être une excellente question.
Comment je le trouve : Je n'aime pas Twilight et tout ce qui s'y apparente, néanmoins, le forum offre une possibilité de jouer sur VK, sans pour autant se calquer sur VK, c'est plutôt rare et bien plus intéressant.

Autre chose à dire :


Dernière édition par Elizabeth Winterwhite le Dim 6 Jan - 18:02, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy   Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy Icon_minitimeSam 1 Déc - 21:51

    Re-bienvenue à toi, merci de ton inscription.
    Je te laisse continuer ta fiche, tu as deux semaines à partir d'aujourd'hui. Bon courage pour la suite, comme convenu, je regarderais pour ton rang de Level A dans la Day Class.
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MessageSujet: Re: Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy   Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy Icon_minitimeSam 15 Déc - 13:26

    Bonjour. Je tenais donc à dire que suite à quelques soucis techniques, ma fiche prendra un peu plus de temps que prévu, désolée. En attendant, j'ai terminé le caractère et le physique, et j'attends donc maintenant ta permission ou non pour faire l'histoire en rapport avec le vampire.
    Bonne journée et bonne continuation pour l'avancement du forum.
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MessageSujet: Re: Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy   Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy Icon_minitimeSam 15 Déc - 18:43

    J'ai lu attentivement ce que tu as écris, je pense que je vais faire une petite exception pour toi. J'accepte ton statut de sang pur dans la day class. Il n'y a pas de soucis pour ta fiche.

    Bonne soirée, merci de nous avoir prévenu.
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MessageSujet: Re: Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy   Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy Icon_minitimeDim 6 Jan - 18:09

    Bonjour. Je tiens à signaler que j'ai terminé ma fiche, et que j'attends donc ton avis et les possibles modifications à apporter. Aussi, je voulais te dire qu'il y a un souci, la plupart des images que je ne poste pas, je ne peux les voir, seulement les administrateurs y ont accès. Et ta signature rend cela chez moi : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] Je revois le forum en fait.

    Voilà, c'est tout. Bonne soirée. ☂
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MessageSujet: Re: Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy   Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy Icon_minitimeLun 7 Jan - 20:17

    Bon pour ta fiche. Je valide, mais il faudrait juste que tu mentionnes dans l'histoire comment tu t'es retrouvée à l'académie Kurosû. :3 Sinon, très belle production écrite ! Ensuite pour le soucis de la signature, je vais essayer de régler tout ça rapidement !
    Bonne soirée !
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MessageSujet: Re: Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy   Inspiration, Oxygène, Expiration.| Lizzy Icon_minitime

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